Et si, dans cet article, je te parlais de cette petite part intérieure qui te fait vivre l’enfer?
Un enfer intérieur qui te pousse à te replier sur toi-même au lieu de laisser écrire tes qualités les plus belles.
Cette petite part intérieure jugeante qui n’a de cesse de te trouver trop grosse, trop maladroite, pas assez intelligente, comme si tu ne valais pas grand-chose.
Mais d’où vient cette petite voix ?
De ton éducation ? Des attentes ? Des remarques incessantes ? De tes obligations ? De ta solitude face à certains évènements de la vie ?
Le dégoût de toi-même s’est installé petit à petit, le besoin de contrôle, le perfectionnisme…
La colère aussi, d’une autre part, parce que la part jugeante prend tellement de place que tu as l’impression que c’est toi.
Ou encore la part qui, quand tu ne l’écoutes pas, crie encore plus fort.
Il est difficile de dire STOP, mais un jour, quand tu commences à prendre conscience que ce n’est pas l’extérieur qui pense cela, mais cette part et son système de croyances (qui n’est peut-être pas le tien), alors le chemin s’ouvre vers plus de douceur, de bienveillance, d’amour, de confiance et d’estime de toi.
Nous ne pouvons changer notre entourage, mais nous pouvons nous donner les moyens d’évoluer et de nous sentir plus libre, plus en connexion avec nous-même, plus à l’écoute de nos peurs, de nos besoins, nous ouvrir à plus de curiosité envers nous-même.
Et si, comme un parent accueillant son enfant, nous accueillions avec curiosité cette part pour connaître ses besoins, ses peurs ?
Et si nous accueillions les autres parts, qui n’ont pour le moment pas le droit d’exister tant celle-là est présente, ces parts peut-être figées par la peur de s’exprimer ?
« Etre juste soi, dans toute sa beauté intérieure »
Nous méritons tous le meilleur, nous avons le doit de nous regarder dans la glace, remplie d’amour pour soi, même si, comme nous restons humain, il y aura des jours plus compliqués.
Laissez s’envoler la tristesse, le dégoût, la honte, la culpabilité, l’idée d’un corps conforme aux attentes de la mode, l’idée de la perfection, du contrôle, pour être juste soi dans toute sa beauté intérieure.
Laisser s’envoyer les attentes extérieures.
Laissez s’envoler nos peurs, nos angoisses, notre anxiété.
Nous ne pouvons pas effacer notre passé, mais en allant guérir nos blessures, cette part jugeante et autosabotrice laissera la place à d’autres parts beaucoup plus douces pour nous même.
Nous pourrons nous ouvrir à la possibilité de vivre les choses avec plus de douceur.
Et si, grâce aux techniques de la psychologie énergétique, qui allient la parole et le travail des points d’acupression, tu pouvais te décharger de ces fardeaux et voir la vie différemment ?
« Ce sont de belles paroles… » me diras-tu.
Ce n’est pas le cas. Plusieurs études issues d’universités reconnues mondialement, comme la Harvard Medical School, démontrent les différents effets de la stimulation des points d’acupression, par exemple :
- Une diminution de l’afflux sanguin dans le centre d’alarme du cerveau (l’amygdale) produisant un réflexe de relaxation à un niveau cérébral profond;
- Une production accrue de sérotonine (un neurotransmetteur calmant) dans le cerveau;
- Un apaisement de l’activité électrique du cerveau;
- Un ralentissement du rythme cardiaque;
- Une extinction du réflexe de « fuir ou se battre » (calmant ainsi le système nerveux sympathique);
- La provocation d’une réponse relaxante (activation du système nerveux parasympathique).
Et si c’était le moment de faire un pas vers toi ?
Et si c’était le moment de faire un pas en avant et de laisser derrière cette petite voix?
Et si c’était le moment de relever la tête et de dire stop à cette part jugeante et autosabotrice ?
Et si c’était le moment de t’aimer pleinement ?
Et si c’était le moment de commencer ton voyage en terre intérieure ?
Je ne te promets pas que tu deviendras bouddha, mais que cette part retrouvera sa juste place dans ton système, te permettant de te créer une belle harmonie intérieure et de laisser ton âme vivre plus sereinement.
Es-tu confrontée à cette part ? Quelle place occupe-t-elle ?
Sens-toi libre de me contacter si tu souhaites m’en parler.